26 octobre 2009

Pas entendu

Faut jamais dire jamais :)

Vos frustrations vous égarent ma Chère.
Comment imaginez-vous que je veuille un animal de compagnie, un chien en plus de ça ! Mon chat me suffit bien.

Le temps que je vis comme je le vis, n'est ni une chance ni une impertinence. C'est ma réalité. C'est un fruit qu'il me fut accordé sur le chemin de mes pas. Si je n'en tire aucune fierté, permettez que je le goute à sa juste valeur, que j'en savoure ses dimensions.
Je n'ai pas besoin de vos ficelles. Que je vous aime me suffit bien. Vous savoir au monde me réjoui.
Quand vous souffrez, je souffre.
Là se situe l'épaisseur de mes maux.
Mon ouverture vers vous me rend invisible.

Je ne vois aucune foule.
Que des êtres uniques dans la peur et l'égarement d'eux-même, cherchant parfois réconfort dans un nombre factice et sans tenue, prêts à tous les meilleurs ou les pires.

Je vous rappelle que nous disposons du même carton. Quand c'est trop rouge, c'est sortie de jeu :)
Un endroit où l'on peut réfléchir beaucoup.

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